暁の領域 : Akatsuki no Ryōiki
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 Mythologie générale de Racyne

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Plume (Valkyrie Lenneth)

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MessageSujet: Mythologie générale de Racyne   Mythologie générale de Racyne EmptyJeu 11 Aoû - 13:42

Chapitre Premier
Au début, il y eut « L’Être » . . .

~ « L’Être » est l’entité originelle, c’est elle qui est à l’ origine des mondes. Elle n’a pas de personnification précise, on l’associe souvent a la couleur blanche. On la décrit aussi comme un corps humain inerte rempli de lumière et de bonté. ~

. . . « L’Être » remplit de joie et d’amour créa l’Univers. L’Univers est l’ensemble des mondes créé par « L’Être ».
Ces mondes étaient peuplés d’êtres vivants (Humains). Les êtres vivants (que nous appellerons plus généralement « humains ») se développaient indépendamment dans chaque monde.
« L’Être » en était fier.

« L’Être » remarqua bien vite que tous les mondes n’évoluaient pas à la même vitesse. Certains mondes ne possédaient même pas encore le feu alors que d’autres maitrisaient déjà magie

« L’Être » décida donc de créer un ultime monde qui serait la plate-forme de rassemblement de tous ses mondes. Ainsi, les mondes furent reliés entre eux via des chemins menant à cette plate-forme. Ceux-ci purent ainsi communiquer, partager et évoluer ensemble, au même rythme.
Ce monde s’appelle Racyne.

Racyne était aussi une terre de paix et d’harmonie propageant la lumière sacrée de « L’Être » dans tout l’Univers via les chemins traversant les méandres de l’espace pour relier tous ces mondes. En effet, cette lumière était remplie de joie, de paix, d’harmonie et de bien d’autres choses bénéfique. En effet, toutes ces vertus se propageaient dans l’Univers tout entiers, la moindre petite particule de cet Univers était remplie de vertus.
Le Bonheur, la Joie, l’Amour et la Bonté prédominaient dans l’Univers.


C’est à ce moment que l’Univers prit son nom définitif qui est « COSMOS ».
Racyne était rempli d’harmonie, les hommes se développaient tous ensemble, tout semblait aller mieux dans le meilleure des mondes et ceux, pour tout le monde. ‘’L’Être’’ illuminait de sa lumière céleste tous les maux de la vie des hommes, tous les péchés étaient repoussé au plus profond de Racyne dans un endroit se nomant l’Antre. Dans cet Antre s’accumulait tout ce que « L’Être » de ses ailes enflammées de lumière bénite repoussait, car le Mal n’était pas anéanti mais plutôt placé à l’écart des hommes pour que l’harmonie règne sur Racyne et dans l’Univers.

Tout le monde semblait vivre dans un monde épargné par l’infinie dégénérescence du Mal.
Mais l’Être étaitêtre rongé par d’infernaux sentiments qui allait bientôt prendre l’apparence de la pire des culpabilités. Les hommes ne le voyaient que comme un être supérieur, divin et surtout comme leur maitre ultime. Un être suprême, un être supérieure qui devait les commander, les diriger tel était la pensée des hommes envers l’Être. En créant l’humanité, l’Être pensait que tous les être vivant vivraient sur le même pied, sur un même niveau d’égalité.

Les hommes apportant leur infini respect à l’Être lui érigèrent des temples aux quatre coins de Racyne, Racyne étant devenu Terre des Prières. L’équivalent d’une religion monothéiste prenait forme contre la volonté de son « dirigeant » qui était aussi impuissant face à cette création de l’homme. Au fil des années, de plus en plus de Temple prenait forme et on vit de plus en plus de pèlerins venu s’accorder les faveurs de L’Être. Il est inutile de dire que l’Être s’y opposait mais les hommes étaient sourds face à cette réalité dont il ne voulait point croire. Toutes les initiatives visant à honorer l’Être était prise par un groupe non-exhaustif de personne se faisant appelé « Les Paroliers » cette organisation prétendait, aveuglément, porter la parole de « L’Être » mais en fait il ne l’écoutait pas, « Les Paroliers » suivaient leurs propres visions de l’Être et du monde. Le tout marchant très bien, leurs religions se rependait parce que les hommes voulaient honoré et surtout remercié leur créateur, celui qui leur avait fait don de la vie. Sentiment compréhensible par l’ensemble et certainement très pur. La pureté, c’est ce qui engendra les évènements qui suivent. L’Être n’en pouvait plus de cette situation, il était donc prêt à résoudre ce problème, mais lui ne put rien faire… Il prit donc la décision de se manifester aux Paroliers pour leur porter sa vraie parole et ainsi dissoudre cette situation invivable pour l’Être.

La rencontre eut lieu, mais les Paroliers aveuglés par les idéaux ne firent point une bonne interprétation du message de l’Être. A la suite de cette rencontre, les Paroliers organisèrent un grand rassemblement de population pour honorer l’Être. Dans ce rassemblement, il y eut mille-et-une prière et mille-et-une chanson en hommage à l’Être. Les hommes exprimèrent aussi tous leurs sentiments, tous agréables, à l’Être. Mais à la fin des prières et autres chants, les Paroliers se rassemblèrent autour d’une jeune fille qui venait d’atteindre l’âge adulte. Ils sortirent des couteaux de sous leurs vêtements de cérémonies et enchainèrent la jeune fille a ce qui ressemblait être un autel et avec une synchronisation défiant les lois de la physique poignardèrent la jeune femme immobilisée à son ventre là où de toute évidence, elle portait un enfant.
Elle portait déjà un enfant parce que les Paroliers avaient parmi leurs nombreux discours prêché que si une femme pouvait porter un enfant, elle devait remercier ses créateurs (père, mère et l’Être) en leur offrant, dès que sa constitution lui permettrait, un enfant à son tour. Elle avait en fait été offerte en sacrifice à l’Être. Le pire était arrivé ! De plus ce mal ne pouvait être rejeté dans l’Antre car il partait d’intention les plus honorables qu’il soit.

A l’instant où tous les poignards furent planté dans le ventre de la victime, le sol se mis à émettre une intense lumière. Cette lumière était aveugle, persistante. Elle s’élevait de manière droite haute dans le ciel qui perdait un peu de sa lumière naturelle. Cette étrange lumière était là comme pour réparer quelque chose l’Être avait assisté à la scène et avait décidé de sauvé la victime et son enfant. Mais il était trop tard pour la future mère.
En enlevant, leurs poignards, les Paroliers commirent l’impardonnable. Il sortit du cadavre fragile de la femme une épaisse fumée fuligineuse qui enténébra Racyne et qui ravagea toute la lumière présente sur son passage recouvrant l’entièreté de Racyne. Cette Terre de lumière était devenue plus sombre que jamais. La Mort fut créée. L’être, conscient de ce dont il était la cause, était parti, et cela à jamais. Pour l’éternité le peuple de l’Univers était condamné à vivre sans la lumière de l’Être. Mais la Mort ne fut pas la seule à être crée, le Temps le fût aussi. Jusqu’à présent les habitants de Racyne n’avaient pas ressenti les effets du temps, vivant pour l’éternité. En même temps que la déferlante de noirceur qui avait traversée Racyne, le Temps reprenait tous ces droits. Les gens se décomposaient, devenaient poussières. Les squelettes des nouveaux macchabés transparaissaient dans la foule, rassemblée en hommage pour l’Être. Seul les plus jeunes survécurent diminuant, ainsi, la population de 70 % de ses habitants. Mais l’Être était, certes, parti mais il avait laissé pour le peuple dont il avait beaucoup d’affection un don. Là où s’était déroulé le drame, une immense Tour se dressait dès-à-présent.
Cette tour sortie de nul par entrait en résonance avec une étrange masse de lumière, à vrai dire la seule source de lumière présente sur Racyne. Cette source était en fait l’enfant de la sacrifiée n’ayant pas pu naitre. L’Être avait put lui accordé un autre sort que la mort, c’était devenu ce que l’on appelle maintenant le Pilier. Don de l’Être en vue de protéger Racyne, l’enfant non-né victime u premier vice de Racyne veillait, comme un signe de pardon sur ce monde qui lui prit la vie. Etant rentré en résonance avec cette nouvelle Tour, cette, elle-même, nouvelle lumière, se fondit dans la Tour pour y résider et s’y développer.

A la suite de cette fusion, une arcane semblable à de la magie, en démarrant de le Tour, recouvrit, tel un rosier grimpant, la surface de Racyne pour ainsi redonner une lumière, certes moins puissante que celle de l’Être, de remplacement pur que l’harmonie revienne.



Chapitre Deuxième

Depuis ce jour funeste, toutes choses étaient différentes. Les gens connaissaient la Mort. Aussi étrange que cela peut paraître l’humanité tel que nous la connaissons n’est nait qu’à partir de cette époque. La mentalité des gens changea avec le temps, il le fallait bien. Le nouvel équilibre demeurait tout de même un bon remplaçant pour « l’Être » même s’il faut le dire, cette chose enfermée dans la tour reste beaucoup moins puissante et charismatique que son prédécesseur…

Le Soleil et la Lune apparurent en même temps que cette fameuse tour. Le peuple avait même décidé de l’appelé « Tour du Jour et de la Nuit » en cet honneur, ce qui lui allait finalement très bien. Ce Pilier offrait à la fois la lumière et l’obscurité. Racyne était moins protégé qu’auparavant mais ce monde restait tant bien que mal protégé.

Protégé… certes, mais pour combien de temps… Le Pilier résistait de manière correcte mais combien de temps cela durerait-il.

L’arcane du Pilier agissait de manière étrange et subtile. Tout le monde pensait qu’elle détruisait le Mal mais en réalité, elle ne faisait que le repoussé. Elle le chassait au plus profond de Racyne, dans un abîme profond, insondable, invisible et inconnu du peuple. Dans cette immense fosse s’accumulait toute forme de Mal et de Souffrance. Mais lorsque la Lumière qui purifiait les hommes s’en alla, les hommes devinrent moins purs… beaucoup moins purs et pour certains, ils étaient tout bonnement immondes. Ces pécheurs étaient alors considérés comme source de Souffrance et ces inconscients étaient donc absorber par cette abîme invisible. Condamné à subsister éternellement dans un amas de pensées sombres et destructrices, ceux-ci souffraient énormément… Cette Souffrance était, elle aussi, avalée par l’invisible fosse. Comme vous pouvez vous en douter, le nouveau système avait d’énormes lacunes. De plus, la perte de ces « pécheurs » provoquait, elle aussi, une Souffrance de la part des êtres pour qui il était cher, elle aussi était additionnée dans les profondeurs de Racyne.

Les années passèrent, la fosse s’emplissaient encore et encore d’âmes et ténèbres. Cela pouvait-il durer éternellement ?

Non~

Umbra… Umbra fut le nom que l’on accorda au fil du temps à cette fosse, cet abîme qui était pourtant inconnu du monde.

Alors vous demander pourquoi lui à ton offert un nom… Parce qu’elle s’est révélée au monde, ou plutôt elle a voulu contrôler le monde. Le monde ne comporte pas seulement Racyne, mais l’entièreté de l’Univers ! Umbra durant toutes ces années d’absorption a vu naitre en son sein un conscience, pas d’âme, une conscience… Pour qualifié cette fameuse conscience, on pourrait utiliser le terme « machine ». Sans aucun but précis, cette conscience pouvait agir provoquant Chaos et Malheurs sans aucune forme d’émotions puisqu’elle en étaient complètement dépourvues. Umbra agissait comme une machine, un mécanisme ne faisant que se répéter sans fin.
Sans émotions… La menace était grande…
[Pas fini]


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